Comment a été perçue l’adoption de l’holacratie ?
« L’adoption s’est faite vite et sans réel frottement. C’est sans doute parce qu’une bonne partie de l’équipe a pu être formée au préalable. Mais aussi parce qu’au départ nous avons fait le choix de commencer par des choses simples et en intégrant progressivement des outils comme Glassfrog qui ont permis de rendre les rôles et processus tout à fait explicites. »
Quels ont été les principaux freins rencontrés ?
« En réalité, pas vraiment de freins majeurs. Je dirais plutôt que j’imaginais juste que les choses se mettraient en place un peu plus vite, notamment les réunions de triage. »
Diriez-vous comme certains que l’holacratie manque parfois d’humanité ?
« Certainement pas chez NETiKA IT Services. Nous sommes une entreprise très vivante dans laquelle les occasions de socialiser sont nombreuses et de très grande qualité, en dehors des horaires de travail. Les gens échangent, partagent et, finalement, s’apprécient et se connaissent. Tout se passe le plus souvent autour d’une bière ou d’un barbecue… Aucune frustration de ce côté-là donc. »
